Resumen : Joakim Noah, little (2m10 quand même) Frenchie qui grandit aux States, joue au basket et permet aux Gators (l’équipe universitaire de Floride) de remporter deux années de suite le titre de champion pour la première fois dans l’histoire du basket US.

Pas étonnant que Joakim, Stix comme ses coéquipiers et ses potes l’appellent, ait été drafté dés l’année suivante dans l’équipe des Bulls de Chicago, l’équipe mythique de la NBA...
Joakim, c’est pas le basket bling bling bad guy. Joakim c’est une générosité cool, le respect des autres, les potes, des racines aux quatre coins du monde, la France, l’Afrique, la Suède, les Etats-Unis... Le basket, c’est pour le «good of the neighbourhood». Qui dit Noah, dit Yannick, le sportif, le chanteur, l’icône, et le grand-père, sportif lui aussi, joueur de foot dans les années 60. Joakim, c’est les valeurs de la tribu et le sport, le dépassement de soi !

Au fil des pages, à l’université ou en plein match sur le parterre des Bulls, on assiste en direct à la naissance d’un grand champion. Et puis l’histoire de Joakim serait incomplète sans Pickles, son meilleur pote. La vanne facile, l’humour à fleur de peau (et si on avait pas parlé de lui, il aurait été capable de mal le prendre...)